La sortie de la nouvelle version du jeu-vidéo Destroy all humans a déclenché quelques passions au coeur de l’été. En effet, les connaisseurs ont voulu vérifier si la version 2020 du game valait le détour. Il est vrai que c’est un retour puisque la première version de DAH, du studio Pandemic, datait de 2005. Il y a quinze ans !
Dans la peau de Crypto, un alien déchaîné
Lors de sa première sortie, le jeu de tir avait fait un tabac. Tout simplement parce qu’il conciliait action, aventure et humour. En effet, le joueur se met dans la peau d’un alien, Cryptoridium 137, plus connu sous le diminutif de Crypto. Cet extra terrestre, de la race des Furons, a un seul objectif : dessouder de l’humain. Et, au passage, récupérer un peu d’ADN, tout droit issu du tronc cérébral. Et, pour atteindre son objectif, sous les ordres de son chef Orthopox-13, il dispose de tout un arsenal d’armes diverses et variées.
Armes, soucoupe volante et gadgets
Crypto n’est pas un enfant de coeur, loin de là. Sa mission de destruction massive est menée à bien grâce à des stratégies diverses et variées. Avant de venir à bout de l’humanité, il observe et étudie, puis il est alors en capacité de prendre le contrôle sur les esprits. De même il dégomme les GI, utilise sa soucoupe volante et tous les gadgets qu’il a sa disposition : dislocator, disintegrator roay… et même un pistolet sonde anale !
Au coeur des années 50
L’action se déroule au beau milieu des années 50, de l’autre côté de l’Atlantique. D’ailleurs parmi les nouveautés de la version 2020 de DAH, il y a une bel affrontement dans le désert du Nevada, à l’assaut des soldats de l’armée américaine. Tout ce scénario est également un écho à l’Amérique des années 50, avec des relents de Guerre froide, d’affrontements avec le bloc Soviétique. D’ailleurs ce qui est léger et drôle, malgré le côté un peu extrémiste et l’obsession de la destruction, c’est précisément tout cet aspect parodique qui est omniprésent.
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