Description
Sorti en 1966,The Reptile s’impose comme l’un des films les plus étranges du studio britannique. Pas de vampire. Pas de monstre de Frankenstein. Mais une femme, transformée par un culte maléfique, victime d’un venin ancien. Une créature hybride. Belle et monstrueuse. Élégante et létale. Un serpent sous une peau humaine.
Cette figurine de 20 cm reprend ce paradoxe glaçant. Le sculpte s’attarde sur le visage à demi humain, à demi reptilien. La bouche est déformée. Les yeux vides. La tenue s’inspire directement du film. Longue robe sombre. Silhouette fine. Posture figée. Et cette impression constante que quelque chose va bouger.
Mego livre ici un hommage à la Hammer dans son âge d’or. Le style est vintage. Les matériaux rappellent les jouets d’époque. Corps souple. Plastique léger. Articulations visibles. Quatorze points en tout. De quoi articuler la terreur. La figurine est livrée dans un blister cartonné rétro. L’illustration claque. Le logo Hammer aussi. C’est une madeleine pour les fans de cinéma gothique anglais.
La Femme Reptile n’est pas la plus connue des créatures. Mais elle fait partie de ces monstres silencieux qu’on n’oublie pas. Elle n’a pas besoin de rugir. Il lui suffit d’apparaître. Mego l’a bien compris.